Travail photographique réalisé à Genève.
Nul besoin de partir dans un pays en guerre ou dans une région pauvre du globe pour assister à la mort dans sa plus cruelle réalité. Les morts violentes, tristes, incongrues, solitaires, attendues ou oubliées, font également partie de la réalité quotidienne genevoise.
Nulle intention surplombante ou morbide dans ces 2 années de levées de corps morts.
Le regard se veut frontal et obstiné: il montre la mort et la respecte dans sa façon d’occuper l’espace, sans rien toucher à sa mise en scène, mais en modifiant un peu la lumière qu’elle s’est choisie.
LE MATIN DIMANCHE — 1.13 MB
Graphisme: Silvia Francia
Développement: James Guyot
Rédaction: Silvia Iuncker-Gomez
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